Consulter le sujet : RP de la ville

[thewomencraft]

Bonjour à tous !
Comme le titre l'indique, voici le rp de la ville (celui qui a été poster lors de la candidature)

Il était une fois une jeune fille prénommé Leila (et oui j’adore ce prénom), elle était gallo-romaine mais surtout c’était la fille du chef de village .Elle n’allait pas à l’école. ù cette époque c’était les garçons de riche qui allait à l’école et les filles, elle fessait le ménage, la cuisine,… . Elle a perdu sa mère, elle n’a plus que son père. Elle vivait dans un petit village non loin de Bruxelles (de nos jours) ce village n’était pas très connu , il y avait peu d’habitant. Nous sommes au temps des gallos-romains. Elle a, comme toute sa petite famille, une servante et une nourrice . Elle a un frère , il est beaucoup plus jeune qu’elle et lui il sait tout sur tout, grâce à l’école. Il se nommait Clovis. Par contre Leila le battais facilement au combat pourtant Clovis suit des cours de combat.

Mais un jour, leur père tomba gravement malade. Elle doit reprendre les fonctions de maire du village mais elle est très peu âgée, les villageois et les habitants du village n’ont pas confiance en elle. Elle décide de donner de la joie à son village en organisant un marché qui deviendra par la suite hebdomadaire. Elle fait construire des bâtiments publique comme un temple mais se fait critiquer encore et toujours par les habitants, ceux-ci dissent que ça ne sert à rien. Son père est toujours malade il lutte, sa fille va le voir et lui explique la situation son père lui dit qu’avec le temps ça passera et sur ce mot son père s’envolait. Le lendemain elle se rendis au marché et fis ses courses quand elle s’arrêtait tout les habitants la regardais ! Ils la regardaient mal alors elle alla leurs parlé. Mais quand elle dit bonjour au forgeron, il lui répond : « Vous n’avez pas autre chose à faire que de nous parlé vous n’êtes déjà pas douée ». Et là elle sentit pousser des ailles et répondit : « désolée d’essayé de faire régné la paix excuser moi si je ne suis pas la fille parfaite ! ». Le villageois lui répondit : « Désolé de vous offensé », et il rajoute, « Personne n’est parfait mais vous vous y prenez mal , vous devriez commencer par savoir pourquoi il y a une épidémie de grippe ! » et il partit , elle voulut en savoir plus car elle n’était pas au courant…

Elle alla voir les malades du village leur demande se qu’ils ont mangé, cherche le point commun entre eux ! Elle chercha mais ne trouva qu’une seul solution : ça ne viens de ce qu’ils ont mangé, elle leur demande alors ce qu’il ont but ils répondent tous de l’eau, elle se rendit alors au lac où elle vu la source bouchée et l’eau polluée. Elle fit donc construire un puis et ordonne à la population de ne plus boire de l’eau de l’autre puis : elle est polluée !

Depuis ce jour plus aucun villageois ne meurt de la grippe, elle se fit respecter, eu une vie calme et paisible. Elle suit maintenant l’école et est donc instruite de la même façon que son frère, mais elle le bat toujours au combat !
Plus tard, vers la fin de l'antiquité, la mairie c'est effondré à causse d'un tremblement de terre, on la reconstruit avec des matériaux plus élaborer et elle fut rénover tout les 5 ans ainsi que les villas pour éviter qu'elles ne se délabrent !

[RP de l'agrandissement]

Alors que tout se passait pour le mieux, notre maire, Leïla, vu revenir l'épidémie de grippe. Elle se demanda comment cela fut possible étant donné qu'elle avait dépollué et filtré l'eau du puit. De plus, cette grippe fut plus forte que la dernière fois. Tellement forte que des centaines de villageois décédèrent. Toute la ville, tout les habitants était touché, à l'exception des villageois qui ne vivait pas quotidiennement dans la ville (Il se fessait de plus en plus rare, car la nouvelle se rependit vite dans tout les contrés), et elle. Tout autre habitant était mort.
En ne savait plus que faire, enfin si : Régler le problème, mais encore fallait-il savoir où était le problème. Elle entendis parler d'une vielle amies, elle venait de la compté d'à coté et se nommait Solène. Celle-ci était le dernière espoir de notre maire Leïla. Juste après l'avoir contacter Solène se mit en route. Petites, elles s'étaient promissent fidélité. Mais à peine la princesse héritière était arriver qu'elle se prit d'un malaise. Mais celle-ci était forte, elle se releva donc après quelques instants, la regarda droit dans les yeux et dit : "Je suis désolée, mais malgré le serment qui nous unies, je ne peux rien faire. Aussi, vous devriez vous attardez sur cette puanteur qui règne" Sur ces mots, elle s'en alla finir de créer sa propre contrée. Leïla ne savait que faire. Même son amie ne savait l'aider. Elle se décida à quitter son village et à se rendre à la faile. Elle a entendus dire qu'une sorcière vivait là-bas. Elle n'attendis pas un instant de plus, prit ses outils, quelques bout de pains, et parti. Elle ne marchait pas longtemps qu'elle rencontrât un nain à l'entré de la faile. Il avait un sourire inquiet et indescriptible. Il n'arrivait pas à parler, il ne fessait que bredouiller ces quelques mots : "Votre... Vo...tre... malédic...lédic....diction". Etant conscient qu'il en avait trop dit et que sa mère serait mise au courant, il partit en courant. Leïla savait qu'il en connaissait plus qu'elle, elle se décida à lui courir après. Elle le rattrapât, ce ne fut pas dure : Elle, elle court vite et lui, il a de petites jambes. Elle engagea la conversation simplement et calmement afin de rassurer le nain, afin de lui montrer que rien de ce qui lui disait ne serait rapporter. Mais elle attrapât son bras droit, elle n'avait guerre envie de se remettre à courir.
Elle lui dit :
- Toi, le nain, sais-tu d'où tu viens ?
- Oui, je suis le fils de la sorcière, je viens donc de sa taverne.
- Toi, le nain, sais-tu d'où je viens ?
- Oui, tu es la fille du roi, tu as hérité du royaume de votre père. Et là, tu comptes te rendre chez ma mère car tu es désespéré et tu souhaites comprendre. Et tu n'arrives pas à règle les problèmes de la malédiction.
- Toi, le nain, sais-tu quels sont ces problèmes ?
- Il y a très longtemps, ton arrière arrière grand-père a prit possession du territoire, tout se passait bien : Gloire, richesse, célébrité,... Puis ton arrière arrière grand père, Arnold, est décédé, vieux. C'est son fils Germans, qui a repris le pouvoir, et qui y a amener les problèmes : Il a appris qu'une sorcière vivait dans son royaume. Ca, le roi ne pouvait pas le supporter, il demanda à son royaume de ramener la sorcière morte au rois, en échange le roi promet richesse et gloire au tueur. Mais quelques jours après, il décédât. C'est donc ton grand père, Grond, qui a suivis au trône. Lui, à alléger la peine de la sorcière : Il voulait la chasser. Après quelques années, il y parvenait. Mais au moment de chasser ma mère, elle a prononcer une phrase que personne n'est en mesure de comprendre. Puis vient le règne de ton père, ton père était confronter à la malédiction, alors il a fait comme toi, il est venu voir la sorcière. Au bout d'un moment, ils ont trouver un accord : La sorcière reviendrait vivre au village mais elle ferait tomber la malédiction. Elle revenait donc vivre au village...
- Toi, le nain, sais-tu pourquoi, alors, la malédiction a-t-elle reprit ?
- Et bien, la sorcière savait qu'elle allait finir par être chasser du village : Elle était né pour semer et faire régner le mal. Dés lors, elle a fabriqué un filtre d'amour et ton père est tombé amoureux de la sorcière. Il a eut deux enfant avec elle. Vous et votre frère.
- La sorcière est ma mère ?
- Oui et je suis ton beau-frère, mais ne nous attardons pas dessus.
- Que s'est-il passé ensuite ? Tout va bien ? Pourquoi mon père m'a dit que ma mère était morte ?
- Mais soyez patiente... Je vais vous le dire. Le filtre de la sorcière n'était que temporaire, il devait durer 100 ans. Mais là n'était pas le problème. La sorcière savait que qui qu'onques buvait du lait, annulait son "sort". Elle fit donc tuer toutes les vaches de la ville. Mais votre père était riche et lorsque vous aviez 1 ans, vous êtes partit en vacance, dans un pays étrange. Le seul pays qui buvait encore du lait. Et là votre père à rompus le filtre. Il s'est souvenus de tout. Il a giflé la sorcière, et est retourné dans son village, brûlant la maison de notre mère. La sorcière se vu chasser, une fois de plus. Votre père n'a plus eu à faire à sa malédiction : Votre père a brûler ces affaires, il lui était impossible de faire des filtres, ou des sorts. Jusqu'au jour où elle trouvât une araignée. Elle l'éleva, et la fit se reproduire. Elle eut comme acquisition une œil d'araignée. Elle le fit fermenter et fit un poison, un poison qui à tuer votre père. Le jour de la mort de votre père, vous étiez tellement sous le choc que vous n'aviez pas remarqué que notre mère était là, une fois que vous êtes sortie en larme, elle vous a lancer votre malédiction des plus terrible, mais vous avez été intelligente et vous l'avez démener donc elle est revenue vous en lancée une autre, une que seule elle et une fée du monde bleu peuvent l'annuler.
- Toi, le nain, sais-tu autre chose qui pourrait m'être utile ?
- Non, je suis navré. Maintenant, il se fait tard, je vais rentrer, vous devriez faire pareil.
Le temps de cette conversation ne c'était pas étendus plus. A peine le nain avait fini sa phrase qu'il était partit. Leïla se décida à dresser son campement, elle mangea peu - Elle n'avait plus très faim après tant de mauvaises nouvelles. Elle était la fille d'une sorcière. D'un autre côté, ça expliquerait beaucoup de choses - et dormit peu. Elle voulus se remettre en marche afin de retourner à la faile. Là, elle vit le nain, il lui à fait un clin d'œil et lui a indiquer son chemin. Mais, la sorcière était prévoyante, elle avait reboucher le chemin. Elle prit donc sa pioche et se mit à creuser. Elle arriva devant la porte après un chemin long et périlleux. Elle pendit son épée regarda la sorcière et lui dit :
- Désolée, c'est pour le bien de la ville.
- Tu ne sais pas ce que tu fais.
- Oh si je le sais. sur ces mots, elle la tua.
Elle ne rendit pas compte qu'elle venait de faire la pire erreur. Elle a tuer la sorcière, celle-ci ne pourra donc pas annuler sa malédiction. Il va donc lui falloir trouver une fée du monde bleu. Mais que voulait dire par là le nain ? Elle se décida donc à aller voir le nain pour lui demander plus d'explication. Mais, Leïla commençât à souffrir de la faim : Elle n'avait pas prévu assez de nourriture. Elle se rendis donc à la faille, elle trouva le nain en pleure. Alors, elle lui adressât un sourire, et lui demanda :
- Toi, le nain sait-tu pourquoi tu pleures ?
- Tu as tuer ma mère ! Ta mère ! Notre mère !
- Ne la considérons pas comme notre mère, elle c'est une méchante.
- C'est grâce à elle que tu es là, ne l'oublie pas !
- Oui, c'est vrai, je suis navrée...
- Soit, quel est la raison de ta venue ?
- Je voulais savoir ce qu'était une fée du monde bleu.
- C'est une fée des eaux, une sirène.
- Comment et où puis-je en trouver ?
- Tu as de la chance l'une d'elle c'est fait capturer par notre mère. Elle dans la faille, si tu veux, je t'y emmène.
- Ce sera avec un énorme plaisir.
Il l'emmena jusqu'à elle. Elle était mince, mais elle était belle. Leïla lui donna le restant de son pain. Sur ce elle repris vie, elle redevenu d'un poids normal. Elle chercha la clé des menottes qui retenait la fée prisonnière, et la libéra. La fée lui adressa un sourire puis lui dis ces quelques mots :
- Vous venez de me sauvez la vie ! Comment pourrais-je vous remercier ?
- Hé ... bien, enfaite je suis venue vous demander de briser une malédiction qui s'est abattue sur mon village. Tout les villageois y sont morts. Il ne reste que moi et mon frère.
- Mais avec joie, mais je ne peux pas le faire pour le moment, je suis bien trop faible. Pourriez-vous me loger une semaine et après je vous brise cette malédiction.
- Je serais enchantée de vous loger.
La semaine passa.
La fée avait maintenant récupéré toutes ses capacités, elle était en mesure de briser la malédiction. Ce qu'elle fit. De plus, elle demanda si elle pourrait venir vivre dans la ville, dans une maison sous-marine. On fut construire le lac de bleu. La fée redonnât vie aux villageois décédé. Et fais ce rependre la nouvelle. Les villageois se bousculèrent pour venir vivre dans sa ville, elle dut même l'agrandir. Après ce jour, plus aucun malheurs n'arriva.